"Je les voyais comme je n'ai jamais vu personne et pas un détail de leurs visages
ou des leurs habits ne m'échappait.
Pourtant je ne les entendais pas et j'avais peine à croire à leur réalité."
"Je les voyais comme je n'ai jamais vu personne et pas un détail de leurs visages
ou des leurs habits ne m'échappait.
Pourtant je ne les entendais pas et j'avais peine à croire à leur réalité."
" Cédant à l'insistance de Chad, je me suis rendue le lendemain matin chez les
J.Sisters, sur la Cinquante-septième Rue Ouest, où j'ai découvert le vrai sens du terme
"brésilien".C'est une épilation du maillot qui implique de ratiboiser quasiment tout des lieux
que Chad contemplait la veille. Sur l'échelle de la douleur, c'est à placer à coté de ces
choses inamicales comme une biopsie du cerveau, donc entre nous, mieux vaudrait
d'abord exiger une péridurale.
Chad a adoré mon brésilien flambant neuf.Comme la plupart des mecs, ai-je ensuite
constaté. Ironie de l'histoire, ce même brésilien allait être la cause de notre rupture.Chad
l'adorait tellement qu'il voulait sens cesse le contempler de près, ce qui au bout d'un
moment a commencé a bien faire. Ensuite, Chad s'est mis à multiplier les initiatives
déplacées, comme me prendre rendez-vous chez les J.Sisters sans me consulter et
piquer une colère démesurée si j'annulais. (Personne n'a un seuil de tolérance à la
douleur assez élevé pour supporter un brésilien par semain.Personne.) C'est à ce
moment-là qu'un doute s'est insinué dans mon esprit : et si, en ce qui concernait les
hommes, mes goûts étaient moins sûrs qu'en matière de chaussures ? un homme qui
ordonnait ses sentiments pour moi aux charmes frivoles d'une épilation du maillot n'était
pas exactement ce que je recherchais. Il me fallait en finir."
"Il m'embrassa assez longtemps pour affoler mon coeur."
" Je suis l'homme idéal, pour toi.Cela ne nous aurait demandé aucun effort, ç'aurait été comme de respirer. J'étais la voie naturelle que ta vie aurait empruntée.Si le monde était comme il devait être, s'il n'existait ni monstres ni magie..."
[Hésitation.Stephenie Meyer.]
"Ce que je voulais vraiment exprimer, c'était la façon dont cet animal avait touché nos âmes et nous avait enseignié
l'une des plus importantes leçons de notre vie."
"Les amoureux des animaux étaient une espèce humaine particulière, généreux d'esprit, pleins d'empathie, peut-être un
peu enclins au sentimentalisme et avec un coeur grand comme un ciel sans nuage."
Ce livre a était un chamboulement.
Dans ma vie, je n'ai pleuré que devant trois livres.
- Le journal d'Anne Franck
- Jamais sans ma fille.De Becky Mahoumdy
- Et Marley et moi.